Au moment de pratiquer nos activités sportives favorites, nous réalisons que certaines mœurs ont bien changé depuis les trente dernières années, plus précisément au sujet du casque. Les récentes statistiques sur les commotions cérébrales dans la pratique de sports tels que le vélo, le ski ou le football professionnel ont suscité bien des débats. L’idée du casque s’est intégrée peu à peu dans la pratique quotidienne du vélo, moyen de locomotion de plus en plus populaire dans notre société québécoise, surtout en milieu urbain. Le casque est aussi devenu bien à la mode sur les pistes de ski alpin. Lors de la pratique de ce sport, il a l’avantage de nous tenir la tête au chaud puisque la plupart des casques de ski sont doublés.
Bien qu’il soit moins difficile de convaincre les enfants de l’importance du port du casque en vélo ou en ski, car il fait de plus en plus partie de leur vie, les générations précédentes ont encore du mal à se laisser convaincre des dangers des traumatismes crâniens. Toutefois, si un enfant le moindrement rébarbatif se fait imposer le casque par un parent qui n’en porte pas lui-même, celui-ci ne se laissera pas facilement gagner par cette idée. On a tous déjà entendu un adulte dire à sa progéniture « fais ce que je dis, et non ce que je fais! »
Blessures crâniennes : à prendre au sérieux!
Le crâne humain est constitué, à la naissance, de 45 os qui se soudent ensemble pour un total de 29 os à l’âge adulte. Cette ossature épaisse protège le cerveau. À l’intérieur, celui-ci baigne dans le liquide céphalorachidien contenu dans les méninges, permettant au cerveau de flotter dans la boîte crânienne sans trop de heurts. Outre les conséquences graves d’une fracture du crâne, si le cerveau frappe la paroi crânienne, il peut en résulter des blessures majeures : étirement ou compression des tissus du cerveau, hémorragie, etc. Même si la mort peut être évitée, des répercussions d’une blessure à la tête, telles que la perte des facultés mentales, l’altération de la personnalité et les troubles émotifs (dépression, agressivité), peuvent durer toute une vie. Pourquoi donc compromettre sa santé, son avenir? Pour une simple question d’apparence?
Afin d’éviter ces conséquences irréversibles, le port du casque devient la solution tout indiquée. À noter également qu’il est très important de remplacer un casque ayant subi un impact. Même s’il ne semble pas endommagé au premier coup d’œil, son efficacité a probablement été amoindrie.
Mieux vaut prévenir que guérir
Porter un casque? Oui, mais encore faut-il bien le choisir. Il est crucial de l’essayer en magasin, car une bonne protection passe par un bon ajustement. Le casque doit être droit sur la tête, afin de protéger les lobes frontal et occipital. La sangle sous le menton doit permettre d’avaler et de parler en toute aisance, sans être trop ample. En aucun cas le casque ne doit pencher vers l’avant ou l’arrière sur la tête.
Polyform veille sur votre sécurité
Écologiques, légers et performants, les plastiques expansés sont un excellent choix de composants pour tout casque. Le polypropylène expansé contient une mémoire de forme permettant au casque de reprendre sa structure initiale suite à un impact sans se briser. Polyform fabrique et développe ses propres composantes de produits, ce qui lui permet d’offrir des casques pour le vélo, le ski, le hockey, le patinage artistique et plus encore, tous certifiés CSA, ASTM ou CPSC. Des casques faits au Québec et conçus pour assurer une protection optimale : qui dit mieux?
En plus de protéger la partie la plus vulnérable de notre corps, les casques sont de plus en plus légers et ne nuisent pas à notre confort; il devient difficile de trouver des raisons de ne pas en porter…
Lorsque nous aimons un sport ou un loisir, nous espérons pouvoir le pratiquer longtemps et aussi souvent que possible. La seule conséquence permanente souhaitable : le plaisir!